Augmentation mammaire : différents objectifs
et différentes approches

LA POSE D’IMPLANTS MAMMAIRES PERMET NON SEULEMENT UNE AUGMENTATION DU VOLUME DES SEINS MAIS AUSSI UNE AMÉLIORATION DE LA FORME DES SEINS

La pose de prothèses mammaires a bien sûr pour principal objectif une augmentation du volume des seins mais cela n’est pas suffisant. Le but de l’augmentation mammaire n’est pas d’obtenir « des gros seins » mais une jolie poitrine, plus ou moins important , selon la morphologie de la personne. La pose d’implants mammaires ne peut pas se réduire à répondre à une demande de la patiente uniquement axée sur un volume bien précis (“je voudrais des prothèses de 300 ml”) car une même prothèse donnera des résultats différents chez deux patientes différentes.

AUGMENTATION NATURELLE DU VOLUME DES SEINS

Il y a deux types de patientes souhaitant une augmentation mammaire. Les unes ont toujours eu de petits seins. Les autres ont vu leurs seins « fondre » suite à une ou plusieurs grossesses ou bien après une perte de poids importante.
Ces deux situations sont différentes mais le complexe est le même. Elles ne se sentent pas femmes. Certaines vont jusqu’à dire qu’elles ont le sentiment de n’être pas « finies », que leur croissance s’est interrompue. Vue sous cet angle l’augmentation mammaire est une véritable chirurgie réparatrice. C’est la raison pour laquelle elle est parfois prise en charge par la Sécurité Sociale.
Il est toujours surprenant de constater qu’une « simple » augmentation mammaire peut changer la vie d’une femme.

 

AMÉLIORATION DE LA FORME DES SEINS

L’augmentation de volume des seins n’est pas la seule finalité de la pose de prothèses mammaires. Certaines femmes souhaitent avant tout une amélioration de la forme de leurs seins.

Il est possible d’améliorer la forme des seins et notamment de les redresser sans nécessairement poser des prothèses mammaires de volume important

Certaines femmes désirent une augmentation mammaire minime. Elles veulent avant tout une amélioration subtile de la forme des seins.

Cette patiente souhaitait une augmentation mammaire à peine perceptible. Malgré la petite taille des prothèses mammaires il a été possible d’améliorer la forme des seins, notamment avec un effet « lifting » des seins, sans s’accompagner d’une augmentation mammaire de volume importante.

La pose de prothèses mammaires permet de remplir la partie supérieure des seins.

Après une grossesse ou un amaigrissement, apparaît souvent une perte de volume des seins, qui est plus marquée dans la partie supérieure des seins qui s’est « vidée ». Les prothèses mammaires permettent de remplir ce creux.

L’objectif à atteindre est une partie supérieure des seins pleine sans être arrondie de manière à ce que l’aspect des seins reste naturel.

Suite à un amaigrissement cette patiente avait des seins qui donnaient l’impression de « tomber » car ils s’étaient vidés. La pose d’implants mammaires a permis de lifter les seins (les aréoles sont plus hautes), de donner du galbe à la partie inférieure des seins et de remplir la partie supérieure des seins. 

Il existait avant l’intervention un écart assez important entre les deux seins. Lors d’une augmentation mammaire il n’est pas possible de rapprocher les deux seins car ils sont séparés par le sternum et on ne peut pas  placer les prothèses mammaires sur le sternum.

 

La pose de prothèses mammaires permet de lifter les seins

La pose de prothèses mammaires a permis de rehausser l’aréole, avec un effet « lifting » du sein.

 

Chez les femmes qui ont des seins vides qui « tombent » de façon assez importante, notamment après un amaigrissement, la pose de prothèses mammaires permet parfois de lifter les seins sans avoir recours à la chirurgie de rehaussement des seins (mastopexie). On évite ainsi les cicatrices de cette chirurgie (autour de l’aréole et verticale).

Suite à une perte de poids de 36 kgs les seins de cette jeune femme s’étaient « vidés ». La pose d’implants mammaires a permis non seulement de « remplir » les seins mais aussi de corriger l’aspect de seins tombants.

 

L’augmentation mammaire ne permet pas toujours de rehausser des seins qui ont un excédent de peau important. Cependant l’augmentation de volume des seins améliore leur aspect. Les seins tomberont toujours un peu mais leur forme sera plus jolie du fait de l’augmentation de volume obtenue avec les prothèses mammaires.

Les seins tombaient un peu et leur volume était insuffisant pour obtenir un joli galbe uniquement en enlevant de la peau pour remonter les seins (mastopexie). Il y avait deux options : mettre des prothèses mammaires et remonter les seins en enlevant de la peau ou bien mettre des prothèses mammaires sans remonter les seins et donc sans cicatrices. La plupart des patientes choisissent la deuxième option, sans cicatrices, tout en sachant qu’il persistera une petite ptôse des seins.

 

La pose d’implants mammaires permet de corriger des seins tubéreux

Les seins tubéreux se caractérisent par l’absence de développement plus ou moins importante de la partie inférieure des seins. Cette malformation est souvent asymétrique et parfois un seul sein est tubéreux. S’agissant d’un véritable malformation il existe une possibilité de prise en charge par la Sécurité Sociale de la correction des seins tubéreux. La mise en place de prothèses mammaires permet de créer la partie inférieure des seins qui fait défaut.

Des implants mammaires ronds de 265 ml placés dans le Dual Plane ont permis de créer la partie inférieure des seins (située sous l’aréole) qui était quasiment inexistante auparavant.

 

Cette jeune personne avait une hypotrophie mammaire associée à une légère malformation de type seins tubéreux qui a justifié une prise en charge de l’augmentation mammaire par la Sécurité Sociale.
La partie du sein située sous l’aréole était courte et rectiligne. La pose d’implants mammaires, pourtant de petite taille (230 ml), a permis d’ arrondir et d’allonger la partie inférieure des seins. L’augmentation de volume obtenue correspond à deux bonnets (passage d’un bonnet A à un bonnet C)


LES DIFFÉRENTES MANIÈRES D’EFFECTUER UNE AUGMENTATION MAMMAIRE

Le type de prothèses mammaires

Contenu des prothèses mammaires : silicone ou sérum physiologique ?

Il existe principalement deux types de prothèses mammaires : celles remplies de sérum physiologique et celles remplies de silicone. Dans les deux cas, la paroi de la prothèse est constituée de silicone. Les prothèses mammaires remplies de sérum physiologique ont pour seul avantage d’être remplies d’un produit naturel, à savoir de l’eau salée telle qu’on la trouve dans l’organisme.

Elles ont pour inconvénients une consistance peu naturelle et les risques de formation de plis visibles et de dégonflement. Elles ont été utilisées en France lorsque les prothèses mammaires en silicone ont été retirées du marché en 1995. Suite à différentes études strictes prouvant la sûreté des prothèses en silicone celles-ci ont été de nouveau utilisées en France à partir de 2001.

Depuis cette date, les prothèses mammaires remplies de gel de silicone sont utilisées par la plupart des chirurgiens. Les prothèses en silicone ont en effet pour avantages une consistance naturelle et un risque minime de plis. Elles ont pour inconvénient la possibilité, dans de rares cas, de survenue de coques. Il existe un troisième type de prothèses, les prothèses mammaires remplies de silicone et recouvertes de polyuréthane.

Le principal avantage des prothèses recouvertes de polyuréthane serait un risque de survenue de coque quasiment nul.

 

Revêtement des prothèses: lisse ou texturé?

La paroi de la prothèse, elle-même en silicone, peut être lisse ou légèrement granuleuse, dite « texturée ». Il existe des prothèses microtexturées et des prothèses macrotexturées. Le Docteur Thierry Lemaire utilise uniquement des prothèses microtexturées, plus lisses que les prothèses macrotexturées.

 

Forme des prothèses mammaires : ronde ou anatomique ?

Les prothèses anatomiques sont dénommées ainsi car elles ont une forme « en goutte d’eau », ressemblant à celle du sein en position debout. La prothèse anatomique est plus plate dans sa partie supérieure que la prothèse ronde. Pour cette raison les prothèses anatomiques peuvent être intéressantes chez des patientes très maigres car elles diminuent les risques de visibilité du bord supérieur des prothèses et d’aspect bombé.

L’inconvénient des prothèses anatomiques provient du fait qu’elles corrigent moins bien les seins qui sont vides à leur partie supérieure. Elles remplissent moins bien le décolleté que les prothèses rondes qui ont plus de relief à leur partie supérieure.

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image implants mammaires

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Forme des prothèses mammaires : profil modéré, haut, très haut ?

Pour un volume identique deux prothèses rondes peuvent avoir une forme différente, en fonction de ce que l’on appelle leur profil. Le profil correspond à la projection ou hauteur de la prothèse. La dénomination peut varier d’un laboratoire à l’autre. Ainsi une prothèse à Profil Très haut distribué par un laboratoire peut correspondre à une prothèse à Profil Haut d’un autre laboratoire. Pour schématiser on peut dire qu’il existe des prothèses à Profil Bas, à Profil Moyen et à Profil Haut. Une prothèse à profil haut aura un aspect plus « bombé » qu’une prothèse à profil bas. En contre partie sa base sera plus petite.

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image avec deux seins représentant l'augmentation mammaire naturelle
Photos de deux prothèses de 300 ml. Celle de gauche a un Profil moyen et celle de droite un Profil haut.

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Le Docteur Thierry Lemaire pose le plus souvent des prothèses à Profil Haut pour donner du galbe aux seins. Bien que la prothèse soit bombée il est possible d’obtenir des résultats naturels à condition de placer des prothèses dont le volume est adapté à la morphologie de la patiente.

 

Le Positionnement des prothèses mammaires : sous-glandulaire, sous-musculaire, Dual Plane

La glande mammaire repose en grande partie sur le muscle Grand pectoral. De ce fait, il existe deux positionnements possibles des prothèses mammaires : derrière la glande mammaire (et donc en avant du muscle) ou bien en arrière du muscle.

 

Augmentation mammaire sous-glandulaire

Mettre la prothèse en arrière de la glande mammaire, à son contact, semble logique et « naturel ». C’est la raison pour laquelle le positionnement sous-glandulaire (rétroglandulaire )fut le premier à être utilisé. Il a pour inconvénient le risque de visibilité du bord supérieur de la prothèse, notamment chez les femmes maigres.

 

Augmentation mammaire sous-musculaire

Pour pallier au risque d’avoir des prothèses visibles est apparu le procédé consistant à mettre la prothèse en arrière du muscle Grand pectoral, dénommée voie sous–pectorale (rétro-pectorale). Le muscle va recouvrir la prothèse dans sa partie supérieure, diminuant ainsi le risque de visibilité de la prothèse mammaire.

 

Augmentation mammaire selon la technique du Dual Plane

Pendant longtemps, il a fallu « mettre dans la balance » les avantages et les inconvénients de chacun de ces deux procédés, jusqu’à l’apparition à la fin des années 90 d’un troisième procédé, le Dual Plane (Double Plan).

Le Dual Plane est une technique « mixte », sous-musculaire et sous-glandulaire. La partie supérieure de la prothèse est en arrière du muscle pectoral qui la dissimule. La partie inférieure de la prothèse est située en arrière de la glande mammaire, permettant ainsi une expansion naturelle et harmonieuse de la partie inférieure du sein qui va donner un joli galbe aux seins. Le Dual Plane présente à la fois les avantages de la voie sous-glandulaire et ceux de la voie sous-musculaire sans leurs inconvénients. C’est la raison pour laquelle le Docteur Thierry Lemaire utilise toujours le procédé du Dual Plane.

 

La cicatrice de l’augmentation mammaire

La voie Aréolaire

L’incision est faite au niveau de l’aréole, le plus souvent le long du bord inférieur de l’aréole. Elle a deux principaux avantages. Elle permet la technique du Dual Plane pour placer les prothèses et la cicatrice est à peine visible. C’est la voie d’abord la plus souvent utilisée.

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Photo d’une cicatrice aréolaire.

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La voie axillaire

La prothèse mammaire est introduite en passant par l’aisselle. La cicatrice est dissimulée dans l’aisselle et de ce fait très discrète. Cet accès est une alternative à la voie aréolaire, notamment lorsque l’aréole est très petite. L’inconvénient de l’incision axillaire est qu’elle ne permet pas d’utiliser le procédé du Dual Plane.

La voie sous-mammaire

La cicatrice est placée dans le sillon situé sous le sein. Elle est plus visible que les cicatrices aréolaire et axillaire. C’est la raison pour laquelle le Docteur Thierry Lemaire n’utilise jamais ce procédé.


LES DIFFÉRENTES ÉTAPES DE L’AUGMENTATION MAMMAIRE

Les consultations préopératiores

Avant une augmentation mammaire il y a au moins deux consultations. Elles sont très importantes car elles permettent au chirurgien de comprendre les attentes de la patiente. D’autre part celle-ci est souvent un peu perdue, après avoir eu des avis différents provenant de proches, d’internet ou de chirurgiens différents. Elle se pose des questions concernant le type de prothèses mammaires (ronde, anatomique), le positionnement (sous musculaire, sous glandulaire ou Dual Plane) et le type de cicatrice (aréolaire, axillaire, sous mammaire). Ces différentes approches seront expliquées durant la consultation ainsi que le choix fait par le chirurgien.

Le message le plus important de la première consultation : Le résultat de l’augmentation mammaire ne dépend pas uniquement de la taille et de la forme des prothèses.

Le choix de l’implant mammaire est un des éléments clés de la première consultation et certainement celui qui préoccupe le plus les patientes. Elles ont une idée bien précise de la forme et du volume des seins qu’elles désirent. De ce fait ces femmes veulent connaître le volume des prothèses qui seront posées ainsi que le résultat qui sera obtenu. C’est normal… mais difficilement réalisable.

En effet une même prothèse ne donnera pas les mêmes résultats d’une femme à l’autre, même si elles ont une morphologie similaire du fait de la différence de peau. Celle-ci ne peut pas être analysée avec un logiciel. C’est la raison pour laquelle il n’est pas possible de faire une simulation du résultat sur ordinateur. Lors de la première consultation seront faits des essais avec différentes prothèses afin que le chirurgien puisse se faire une idée du volume désiré par la patiente. Il pourra ensuite montrer des résultats avec telle ou telle prothèse chez des femmes ayant une morphologie et une qualité de peau proches de celles de la patiente.

Plusieurs volumes de prothèses seront mentionnés mais le choix définitif des prothèses ne pourra se faire que lors de l’intervention en regardant le résultat
obtenu, en position assise, avec différentes prothèses.

Le résultat d’une augmentation mammaire dépend principalement des caractéristiques de la peau. Ainsi une même prothèse mammaire donnera des résultats différents chez deux patientes ayant une peau différente.

Dans les deux cas des prothèses rondes de 300 ml Profil Haut ont été posées avec le même procédé (Dual plane). Le résultat obtenu chez la patiente ayant une peau légèrement distendue après une grossesse (photos situées en bas) est très différent de celui obtenu chez la jeune femme ayant une peau plus tendue (photos situées en haut).

A l’issu de la consultation une demande de prise en charge par la Sécurité Sociale peut-être faite dans certains cas

Lorsqu’il existe une hypoplasie mammaire sévère (bonnet inférieur à A) ou associée à une malformation de type seins tubéreux il existe une possibilité de prise en charge par la Sécurité Sociale de l’augmentation mammaire après accord du Médecin Conseil.

Le séjour à la clinique

L’augmentation mammaire se déroule sous anesthésie générale. Le plus souvent les patientes passent une nuit à la clinique. Avant leur sortie, le lendemain de l’intervention, le pansement fait au bloc opératoire est changé et le drain est retiré. Les patientes appréhendent souvent ce moment et pourtant il est peu douloureux et très bref. Le drain est un petit tuyau de 2 mm de diamètre qui permet de diminuer l’accumulation de sang autour des prothèses et ainsi, selon certains chirurgiens, le risque de survenue d’une coque. Après avoir changé le pansement on met à la patiente un soutien-gorge compressif ou bien un bandeau de contention. Cette contention élastique a pour principal objectif de maintenir les prothèses en place le temps de la cicatrisation. Elle est maintenue jour et nuit pendant un mois.

Les suites opératoires

Les douleurs après une augmentation mammaire varient selon les personnes et le positionnement des prothèses. Elles sont plus importantes lorsque les prothèses sont placées sous le muscle. Les douleurs s’atténuent à partir du 4ème jour et durent environ une semaine. Elles sont calmées avec des médicaments antalgiques plus ou moins puissants.
Le chirurgien revoit la patiente au cabinet une semaine et deux semaines après l’augmentation mammaire pour changer les pansements et suivre l’évolution de la cicatrisation. Il n’y a pas de fils à retirer car les fils utilisés sont résorbables.
La reprise de l’activité professionnelle a généralement lieu 7 à 10 jours après l’intervention. Il faut attendre un à trois mois pour reprendre une activité sportive selon le type de sport pratiqué et le positionnement des prothèses. Le délai est plus long lorsque les prothèses sont placées sous le muscle.

Evolution du résultat

La patiente est habituellement revue en consultation à un mois, trois mois, six mois et un an de l’intervention. Durant le premier mois il y a un oedème (gonflement) au niveau des seins et la peau est légèrement tendue. Les seins prendront leur forme définitive après une période variant de 6 mois à un an selon l’élasticité de la peau.

Au bout de combien de temps doit on changer les prothèses?

Pendant longtemps on a dit qu’il fallait changer les prothèses tous les dix ans. Ceci n’est plus vrai aujourd’hui. Il n’y a plus de changement systématique des prothèses. Pourquoi une nouvelle intervention si les seins ont une jolie forme ? Le plus souvent les prothèses sont remplacées uniquement lorsqu’il existe des signes de rupture, perçus par la patiente ou bien découverts lors d’une mammographie. Avec les années la membrane des prothèses s’use et à terme elle va se rompre. Le gel de silicone des prothèses actuelles étant hypercohésif il ne va pas se répandre dans l’organisme d’autant moins que la prothèse est entourée d’une capsule. Ce sont les raisons pour lesquelles il n’ y a pas d’urgence à changer une prothèse rompue. Compte-tenu de la qualité des prothèses actuelles le changement des prothèses est effectué plus tardivement qu’auparavant, souvent au delà de 15 ans.

 

« Après avoir regardé les différentes photos figurant sur cette page vous avez pu constater que les résultats sont différents d’une personne à l’autre même lorsque l’on pose des prothèses identiques. Ceci est du au fait que les patientes avaient à l’origine des seins de forme différente et surtout une qualité de peau différente.
Le résultat ne dépend pas uniquement du volume des prothèses. »
Ce qu'il faut retenir au sujet de l'augmentation mammaire
  • La pose d’implants mammaires permet d’augmenter le volume des seins et d’améliorer la forme des seins tout en préservant une souplesse à la palpation, une forme naturelle, la sensibilité du mamelon et la possibilité d’allaiter.
  • Il est possible de placer les prothèses mammaires en arrière de la glande mammaire ou en arrière du muscle Grand pectoral.
  • Le plus souvent les prothèses mammaires sont placées dans un plan « mixte », le Dual Plane, permettant d’avoir les avantages du positionnement sous glandulaire et ceux du positionnement sous-musculaire.
  • Le choix de la taille et du type de prothèses (rondes ou anatomiques) est fait en fonction de la qualité de la peau, de la forme des seins et du thorax.
  • La cicatrice est à peine visible, le plus souvent située dans la partie inférieure de l’aréole.
  • L’anesthésie est générale.
  • Le prix de l’augmentation mammaire avec des prothèses est de 5600 euros, quelque soient les prothèses et les techniques utilisées. Il est de 2700 euros s’il existe une prise en charge de l’augmentation mammaire par la Sécurité Sociale.